Bol disco

Bol disco
© Photo B. Reverdy Graphiste M. Safatly

vendredi 9 septembre 2016

À paraître #6

Patti Smith : Horses
par Véronique Bergen

2018

Chevaux de fer, de feu, de vent





























Poétesse, romancière, essayiste et philosophe, Véronique Bergen est l’auteure de nombreux ouvrages et articles, chez Lignes, Denoël ou Al Dante, entre autres.



jeudi 8 septembre 2016

À paraître #5

Bashung : Fantaisie militaire
par Pierre Lemarchand
2018

Point d’orgue, nœud gordien ?



























Pierre Lemarchand anime El Dorado, l’émission de radio multidiffusée, et s’est fait remarquer en publiant la première biographie de Karen Dalton : Le Souvenir des montagnes chez Camion Blanc.

À paraître #4

Nick Cave & The Bad Seeds : Tender Prey
Par François Girodineau

2017
Couverture provisoire
1988. Au bout du rouleau, Nick Cave forme le vœu d’un New Morning. Près de trente après, on est heureux de le voir toujours actif...




























François Girodineau est l’âme damnée du webzine Silence Is Sexy

mardi 6 septembre 2016

À paraître #3

Rage Against The Machine : Rage Against The Machine
par Christophe Levaux

2017

Couverture provisoire
On a peut-être oublié un peu vite la fusion...






























Christophe Levaux est musicologue. Il a codirigé Boucle et Répétition aux presses de l’Université de Liège. Il a codirigé le festival de musique ancienne des Nuits de septembre.

lundi 5 septembre 2016

À paraître #2

Nick Drake : Five Leaves Left
par Alain Hertay et Alain Pire

2017
Couverture provisoire

On dépeint toujours Nick Drake comme un artiste solitaire, un génie esseulé. Et si son Five Leaves Left était au contraire une collaboration fructueuse ?

















Alain Hertay est historien du cinéma, auteur au CEFAL de Eric Rohmer, Comédies et proverbes et rédacteur au webzine Culturopoing
Alain Pire est musicien, auteur chez Camion Blanc d’une Anthropologie du rock psychédélique anglais

dimanche 4 septembre 2016

À paraître #1

Robert Wyatt Rock Bottom
par Philippe Gonin

Sera-t-il sous le sapin cette année ? No nit not ! For jangle and bojangle, trip trip pip pippy pippy pip pip
Le suspense est à son comble !
Couverture provisoire

mardi 17 mai 2016

Vente en ligne des publications de la collection Discogonie

Vous pouvez désormais passer commande de nos publications via une boutique Densité. Vous y retrouverez la totalité de la collection Discogonie, soit les quatre premiers volumes.
Douloureuse par carte bancaire ou supplice du PayPal. Pour les chèques, vous pouvez calculer le montant total sur la boutique, puis envoyer le papelard à l’adresse suivante :

Editions Densité
18, rue Etoupée
76000 Rouen
France



mercredi 4 mai 2016

Où acheter "My Bloody Valentine Loveless" de Guillaume Belhomme


 Quelques pistes à titre indicatif pour acheter My Bloody Valentine Loveless :

En librairie (liste non exhaustive) :

- le site Place des libraires vous indiquera quelle librairie du réseau en détient.

- Les parisiens peuvent compléter grâce au site Paris Librairies.

- Vous pouvez bien entendu commander chez votre libraire préféré.

Enfin, pour acheter directement en ligne : lalibrairie.com, la boutique du Son du grisli ou celle de Densité.

mercredi 23 mars 2016

"My Bloody Valentine Loveless" de Guillaume Belhomme squatte les radios

Quelques jours très radiophoniques pour la discogonie consacré à l’album Loveless de My Bloody Valentine par Guillaume Belhomme :
Ce soir, mercredi 23 mars 2016, Richard Gaitet en lira un passage à l’antenne dans son émission Nova Book Box (à 1h50 du début environ).

 Samedi dernier, c’était sur Fajet, radio nancéienne, dans l’émission Electrophone, hommage a été rendu à l’ensemble de l’œuvre de Guillaume Belhomme, grand contributeur et animateur du Son du Grisli et éditeur, lui aussi.

Dimanche, c'était Sancho Panza qui ramait face au pauvre David Taugis dans son émission Rockoscopie, pour parler (très maladroitement) de ce livre, et de la suite à venir...


Où acheter My Bloody Valentine Loveless de Guillaume Belhomme ?


lundi 14 mars 2016

Kevin Shields a une théorie

À l’occasion de la remasterisation de Loveless en 2012, Kevin Shields évoquait avec JD Beauvallet le débat analogique versus numérique d’une manière inédite :


Tu as retravaillé les bandes pour les rééditions. Quelles ont été tes impressions ?
J’ai repris ces enregistrements à la source, aux bandes analogiques. À cause des CD, des MP3, des logiciels de studio, ça faisait des années que je n’avais pas entendu d’enregistrements analogiques purs. Ça m’a bouleversé, fait ressurgir des tas de souvenirs, un peu à la façon dont une odeur, parfois, peut vous propulser vingt ans en arrière, réveiller des sentiments enfouis. Une partie de mon cerveau n’avait jamais entendu cette musique depuis son enregistrement, elle m’a sauté aux oreilles, dans toute sa pureté. La musique digitale et la musique analogique ne se stockent pas dans les mêmes zones de la mémoire. On conserve une mémoire beaucoup plus vivace, précise et circonstanciée de la musique analogique.
Fin 1991, au moment de la sortie du disque, aux Inrocks, c’est Arnaud Viviant qui s’y colle et rebaptise l’album "Wall-less".
Les Inrockuptibles n°32, nov./déc. 1991




































Où acheter My Bloody Valentine Loveless ? Chez votre libraire, évidemment, et s’il ne l’a pas, commandez-lui. En ligne ? par exemple ici ou .


mardi 8 mars 2016

Beautiful Noise, un documentaire sur la pop noiseuse

Ok, ce n'est pas nouveau nouveau (pas comme le livre de Guillaume Belhomme, qui vient de paraître), mais le documentaire d'Eric Green reviennait sur l'émergence, les effets immédiats et les retombées de cette petite perversion sonore que nous avons tant aimé : la noisy pop. Et My Bloody Valentine y prend une belle part, dans cette perversion des ritournelles.

"This is the story of how Cocteau Twins, The Jesus and Mary Chain, and My Bloody Valentine influenced generations of bands..."



« Varié plus qu’irrégulier, Isn’t Anything met au jour les flottements qui sous-tendent à cette époque encore la musique de Shields (que certains soupçonnent déjà de « génie »), tout en donnant à entendre une voix singulière prête à faire école – le premier album de My Bloody Valentine n’est-il pas la source à laquelle seront venus boire Ride, Teenage Fanclub, The Boo Radleys… ? La presse musicale britannique (Sounds, puis NME) se chargera d’ailleurs de faire de ces groupes les éléments d’un courant, voire d’un style, qu’elle baptisera shoegazing au prétexte que leurs guitaristes semblent perpétuellement fixer le sol. Et voici Kevin Shields, avatar de l’ « ambitieux-triste » de Baudelaire, à la tête d’une troupe de traîne-savates emportés par de grands et lents mouvements de guitares sous lesquels il arrive à des voix de percer : Slowdive, Lush, Catherine Wheel, Swervedriver, Pale Saints, Chapterhouse, Moose… Mais le qualificatif (shoegazer) décrit une attitude sur scène davantage qu’une façon arrêtée d’envisager la musique : « les joueurs de guitare indé sont souvent immobiles sur scène, les yeux fixés sur leur manche de guitare ou sur le sol », expliquera le NME. Aux précisions apportées ensuite par Debbie Googe (« on avait le regard braqué sur nos pédales d’effets, pas sur nos chaussures ! ») ou le bassiste de Ride, Steve Queralt (« ça veut dire quoi shoegazer ? Pour ma part, je ne regarde pas mes chaussures quand je joue de la basse. C’est juste une des inventions stupides de la presse anglaise. »), ajoutons celle de Kevin Shields :

La plupart du temps, ce que faisaient les shoegazers qui sont arrivés après nous était bien différent en termes d’humeur, d’intention et d’attitude, tout en ayant en commun ces éléments plutôt superficiels que sont les guitares bruyantes, les voix douces et les rythmiques a minima.

Ce que ces groupes ont aussi en commun, ce sont des influences : celle de la musique des années 1960 (pour Shields, le « mouvement » dont on lui attribue la paternité ne serait qu’un mélange de la pop des Sixties avec « un peu de bruit ») comme celle de The Smiths, Hüsker Dü, The Cure, et puis Cocteau Twins, The Chameleons, The Jesus And Mary Chain ou The Fall »
 My Bloody Valentine Loveless, Guillaume Belhomme, p. 17


Sur le site vitrine du film, vous pouvez même vous acheter un poster
 "dans la peau d'un shoegazer" (version gaucher) :

jeudi 3 mars 2016

Quelques questions à Guillaume Belhomme sur son livre "My Bloody Valentine Loveless" 3/3

My Bloody Valentine Loveless arrive en cette première semaine de mars en librairie. L’occasion de poser nos dernières questions à son auteur, Guillaume Belhomme.


Avez-vous des souvenirs de Loveless en concert ?

Je pense que Loveless est un disque qui interdit de facto sa reproduction sur scène. Pour ce qui est de My Bloody Valentine, si je ratais rarement un concert au début des années 1990 à Rennes (et il y en avait beaucoup), quand le groupe est passé à l’Ubu, en mars 1991, j’étais à… New York – profitant d’un voyage organisé par le lycée où j’étais inscrit en seconde, je tiens à préciser. Il a donc fallu que j’attende leur passage au Zénith de Paris, en juillet 2008, pour assister à mon premier concert de My Bloody Valentine. Par paresse, je cite un autre passage du livre : « Alors, des retrouvailles : le 9 juillet au Zénith de Paris, si les protections auditives empêchèrent toute pâmoi­son, elles n’entamaient que peu un brouhaha terrible, plusieurs fois interrompu par un limiteur de niveau sonore autrement per­turbant. Dans cette configuration, l’exercice montre ses limites, qui impressionne puis abasourdit, et donnerait enfin raison au docteur Jean Larger qui, dans les années 1970, dressait une liste des causes de « traumatismes sonores » dans laquelle on trouve, entre la chasse et la pratique de l’aviation légère, la musique pop dont les torrents d’harmonie sont produits par des amplificateurs de 100 à 150 watts au nombre de 4 ou 5 et dont l’in­tensité dépasse les 120 décibels du seuil auditif confortable. Quatre à cinq heures à ce régime sont suffisants pour modifier la courbe d’un audiogramme. »

Est-ce indiscret de vous demander les résultats de votre dernier test audiométrique ?

Certes, j’ai aujourd’hui des acouphènes, mais « l’audition est excellente ! » comme me l’a révélé, il y a une dizaine d’années, un professeur parisien. Il m’a aussi expliqué qu’il n’y avait rien à faire contre les acouphènes, en effet : une fois fauchées, les cellules ciliées ne repoussent pas. Mais, comme Alex DeLarge le disait de Ludwig Van : My Bloody Valentine n’y est pour rien !, ni d’ailleurs Merzbow, ou John Wiese, etc., que j’ai écoutés plus tard… La première fois que je me suis rendu compte que mes oreilles continuaient à siffler trois ou quatre jours après un concert, ce fut en octobre 1992. Le 16, plusieurs heures de Ride (balance dans la Salle de la Cité à vide + concert le soir) m’ont imposé ces deux ou trois aigus qui se chevauchent désormais en permanence dans ma tête. Heureusement, ce que l’éminent ORL s’était bien gardé de me dire est qu’il y a avait une chose à faire pour ne plus les entendre : tout jouer plus fort !



Où trouver le livre My Bloody Valentine Loveless ?
ou bien (à Paris) 

mardi 1 mars 2016

Quelques questions à Guillaume Belhomme sur son livre "My Bloody Valentine Loveless" 2/3

Archives G. Belhomme
My Bloody Valentine Loveless arrive en cette première semaine de mars en librairie. L’occasion de poser quelques questions à son auteur, Guillaume Belhomme.

Vers quelles sources vous êtes-vous tourné pour recueillir vos informations ? Tenez-vous de l’inédit ?

J’espère « tenir de l’inédit » dans mon approche davantage encore que dans les informations que le livre contient. Pour ce qui est des renseignements qu’il donne, j’ai d’abord exploré mes archives personnelles – la montagne de fanzines du début des années 1990 que j’ai conservés – avant d’aller relire le livre (très formel, pour le coup) que Mike McGonigal a publié sur le même sujet dans la collection  
33 1/3 de Bloomsbury et surtout de me plonger dans l’immense littérature qu’internet met à disposition : articles, interviews, vidéos… Et puis il y a eu de nouvelles écoutes du disque, programmées pour « rendre compte » à ma manière de ce qu’on y trouve. Je suis même allée jusqu’à approcher Kevin Shields, lui adressant une (et une seule) question par Hotmail interposé ; pour connaître sa réponse, il faudra réussir à déchiffrer le tout dernier chapitre du livre…

Que reste-t-il d’un tel album quand on l’a étudié sous toutes les coutures pendant des mois ?

Il reste tout Loveless ! Une énigme encore, malgré l’éclairage apporté, et les mêmes plaisirs. C’est comme ces schémas que l’on trouve sur internet qui expliquent quelles pédales d’effet il faut relier entre elles pour obtenir le son des guitares du disque : la chose est vaine, d’ailleurs même Shields semble en avoir perdu la combinaison. Alors, retour au disque : tout y est consigné, et en plus il bouge !

dimanche 28 février 2016

Quelques questions à Guillaume Belhomme sur son livre "My Bloody Valentine Loveless" 1/3

Archives G. Belhomme
My Bloody Valentine Loveless arrive en cette première semaine de mars en librairie. L’occasion de poser quelques questions à son auteur, Guillaume Belhomme.

Qu’est-ce qui vous a amené à choisir de travailler sur Loveless en particulier ?

J’avais quinze ans quand Loveless est sorti et, depuis, c’est un disque que j’écoute encore, et même régulièrement – comme In Ribbons de Pale Saints, ou Dry de PJ Harvey par exemple. A l’époque, j’écoutais donc principalement ce qu’on appelait du « rock indépendant » et je publiais (à une cinquantaine d’exemplaires tout au plus) un fanzine de quelques pages, Leave me Alone? J’avais la chance d’habiter près de Rennes, où la plupart des groupes qui officiaient dans « le genre » avaient l’habitude de donner des concerts. Plusieurs fois par mois, je fréquentais donc la Salle de la Cité, l’Ubu…, et j’avais parfois la chance de rencontrer les groupes en coulisses sous le prétexte d’avoir quelques questions à leur poser pour mon fanzine… Loveless est donc un souvenir de jeunesse, mais pas seulement : comme je l’écris au début du livre, j’ai l’impression qu’à chaque nouvelle écoute ses couleurs changent : « Est-ce sous l’ef­fet de la lumière sinon sous l’effet du temps que changent ses couleurs – ce fuchsia d’emprunt, et puis ses bleus de guède et ardoise ? » J’ai consacré il y a quelques années un petit livre à For Bunita Marcus du compositeur américain Morton Feldman : si les deux disques n’ont, sur la forme, rien à voir l’un avec l’autre, ils me font l’un comme l’autre l’effet de se transformer au gré des écoutes. C’est assez particulier…


Comment vous êtes-vous approprié la ligne éditoriale de la collection ?

Je me la suis « appropriée », je crois que c’est le mot juste. J’avais lu The Cure Pornography de Philippe Gonin dans la même collection mais, au moment de me mettre à l’écriture de Loveless, je n’ai pas voulu aller voir à quoi ressemblait la structure du texte ; d’ailleurs, j’aurais été bien en peine de dire si celle-ci répondait à un « cahier des charges » soumis à l’auteur par les éditions Densité. J’ai donc écrit Loveless comme j’ai écrit mes autres livres, en n’en faisant qu’à ma tête, avec une écriture peut-être un peu « particulière », des allusions, des recoupages, des renvois… Je dois d’ailleurs remercier Hugues Massello pour la souplesse avec laquelle il a bien voulu accepter ce texte, qui est peut-être moins formel que ce qu’on peut généralement attendre pour ce genre d’ouvrage.

samedi 23 janvier 2016

À partir du 2 mars en librairie

My Bloody Valentine : Loveless
de Guillaume Belhomme

9,95 € - ISBN 9782919296057
10 x 18 cm, 84 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
Diffusion/distribution : Serendip-Livres
Dilicom 3019000119404


«  Les amateurs de My Bloody Valentine ont trouvé le temps long entre leur première écoute d’Isn’t Anything et la sortie de Loveless, en 1991. De studio en studio, Kevin Shields et sa bande auront mis deux années à façonner l’album qui marquera de ses guitares brumeuses et de ses voix lointaines le début des années 1990 et qui continue de hanter tout amateur de distorsions.
« Dans les pas du Velvet Underground, d’Heldon ou de Suicide, My Boody Valentine a accouché avec un art qui n’appartient qu’à lui, et que l’on copiera, de la bande-son de ses errances et de ses doutes. À tel point que l’influence de Loveless aura sur le groupe un effet paralysant : vingt années passeront avant qu’il n’enregistre un "nouvel" album. Assez de temps pour interroger la nature de ce désenchantement qui menace tout créateur véritable – c’est-à-dire : souvent inquiet.. »
Chef-d’œuvre de noisy pop, bruyant et doux, cotonneux et mouvant, apogée de la carrière
du groupe...

L’auteur : Guillaume Belhomme, musicien et écrivain, a collaboré aux Inrockuptibles, à Jazz Hot et à Mouvement et anime le blog Le Son du grisli. Il est l’auteur d’une anthologie de jazz en deux volumes (Giant Steps / Way Ahead chez Le Mot et le reste) et dirige les éditions Lenka lente. Il vit et travaille à Nantes.

Parmi les ouvrages parus :
- Jackie McLean, Lenka lente, 2014
- Free Fight : This Is Our (New) Thing, Camion Blanc, 2012
- Giant Steps : Jazz en 100 figures, Le Mot et le reste, 2009

Acheter ce livre !

À SUIVRE :
Robert Wyatt : Rock Bottom,  
Rage Against The Machine : Rage Against The Machine

vendredi 8 janvier 2016

2016

Bonne année que cette année ! Au programme :

2 nouveautés :
En mars : My Bloody Valentine : Loveless de Guillaume Belhomme
En septembre : Robert Wyatt Rock Bottom de Philippe Gonin

2 réimpressions :
Neil Young Harvest de Christophe Pirenne
The Cure Pornography de Philippe Gonin



Et pour 2017, pour le moment, nous ne pouvons annoncer que Rage Against The Machine : Rage Against The Machine, mais nous serons très prochainement en mesure de grossir la liste.

Et aujourd'hui ? dans quelle librairie je peux les trouver ?